Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a appelé les Algériens à exercer, à l’occasion des élections législatives du 4 mai 2017, leur “libre choix”, les exhortant à participer massivement au scrutin à même de contribuer à la stabilité du pays.
“A l’occasion de l’élection de la prochaine Assemblée populaire nationale, vous aurez à choisir parmi plus d’un millier de listes de partis politiques et de candidats indépendants qui se sont présentés dans les différentes wilayas du pays et au niveau des circonscriptions électorales de la communauté nationale à l’étranger”, a affirmé le chef de l’Etat dans un message à la Nation à la veille du scrutin des législatives, lu en son nom par Mme Imane Houda Feraoun, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la télécommunication, lors d’une rencontre nationale de sensibilisation à Alger sous le thème “la société civile, soutien à l’édifice démocratique”.
Il a invité les citoyens à exercer leur choix, affirmant que “ce choix sera respecté, sera le vôtre, libre, et en concordance avec vos convictions politiques. Mais dans le même temps, votre participation à ce scrutin sera votre contribution personnelle à la stabilité du pays, à la progression de la démocratie dont vous êtes la source et, au développement de notre Patrie, l’Algérie, à laquelle nul parmi nous n’a de Patrie de rechange”, a encore affirmé le président de la République.
“J’en appelle donc notamment à votre attachement à l’Algérie pour répondre présent à l’appel du Devoir et à participer massivement à l’élection de l’Assemblée populaire nationale”, a affirmé le chef de l’Etat.
Dans ce sillage, le président de la République a anticipé en initiant, à partir de 2011, de profondes réformes politiques, couronnées en 2016 par une révision de la Constitution ayant abouti, entre autre, à la création d’une Haute instance indépendante de surveillance des élections (HIISE) qui veille à la transparence et à la probité des élections.
Cette instance s’assure également de la neutralité des agents chargés des opérations électorales et la non utilisation des biens de l`Etat au profit d`un parti politique, d’un candidat ou d`une liste de candidats.
En outre, la loi organique relative au régime électoral, adoptée en juin 2016 par le parlement, offre, pour sa part, de nouvelles garanties juridiques pour un scrutin “clair et transparent” conformément à la révision de la Constitution.
La loi est venue, ainsi, préserver les acquis démocratiques, notamment en ce qui concerne le droit pour les représentants des candidats de contrôler les opérations de vote à toutes les étapes et de consigner dans les procès-verbaux de dépouillement des bulletins dans les bureaux de vote toutes leurs observations ou contestations.
“A l’occasion de l’élection de la prochaine Assemblée populaire nationale, vous aurez à choisir parmi plus d’un millier de listes de partis politiques et de candidats indépendants qui se sont présentés dans les différentes wilayas du pays et au niveau des circonscriptions électorales de la communauté nationale à l’étranger”, a affirmé le chef de l’Etat dans un message à la Nation à la veille du scrutin des législatives, lu en son nom par Mme Imane Houda Feraoun, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la télécommunication, lors d’une rencontre nationale de sensibilisation à Alger sous le thème “la société civile, soutien à l’édifice démocratique”.
Il a invité les citoyens à exercer leur choix, affirmant que “ce choix sera respecté, sera le vôtre, libre, et en concordance avec vos convictions politiques. Mais dans le même temps, votre participation à ce scrutin sera votre contribution personnelle à la stabilité du pays, à la progression de la démocratie dont vous êtes la source et, au développement de notre Patrie, l’Algérie, à laquelle nul parmi nous n’a de Patrie de rechange”, a encore affirmé le président de la République.
“J’en appelle donc notamment à votre attachement à l’Algérie pour répondre présent à l’appel du Devoir et à participer massivement à l’élection de l’Assemblée populaire nationale”, a affirmé le chef de l’Etat.
Dans ce sillage, le président de la République a anticipé en initiant, à partir de 2011, de profondes réformes politiques, couronnées en 2016 par une révision de la Constitution ayant abouti, entre autre, à la création d’une Haute instance indépendante de surveillance des élections (HIISE) qui veille à la transparence et à la probité des élections.
Cette instance s’assure également de la neutralité des agents chargés des opérations électorales et la non utilisation des biens de l`Etat au profit d`un parti politique, d’un candidat ou d`une liste de candidats.
En outre, la loi organique relative au régime électoral, adoptée en juin 2016 par le parlement, offre, pour sa part, de nouvelles garanties juridiques pour un scrutin “clair et transparent” conformément à la révision de la Constitution.
La loi est venue, ainsi, préserver les acquis démocratiques, notamment en ce qui concerne le droit pour les représentants des candidats de contrôler les opérations de vote à toutes les étapes et de consigner dans les procès-verbaux de dépouillement des bulletins dans les bureaux de vote toutes leurs observations ou contestations.