Le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, a plaidé vendredi à New-York, pour la promotion d’un “dialogue inclusif” permettant de prévenir la xénophobie, l’islamophobie, le racisme et toutes les manifestations de rejet de l’autre, indique un communiqué du ministère.
M. Lamamra qui a représenté l’Algérie à la rencontre ministérielle annuelle du groupe des Amis de l’Alliance des Civilisations des Nations unies qui s’est tenue en marge des travaux de la 71ème session de l’Assemblée générale des Nations unies, “a notamment insisté sur l’impératif de la promotion, tant à l’intérieur du pays qu’au niveau international, d’un dialogue inclusif dans la perspective de prévenir la xénophobie, l’islamophobie, le racisme et toutes les manifestations de rejet de l’autre au moyen de l’usage inconsidéré de formules stigmatisantes et discriminatoires”, souligne la même source.
Il a notamment “affirmé que la tolérance et la réconciliation constituent de puissants outils pouvant garantir aux générations actuelles et futures un environnement pacifique loin de toute exclusion”.
M. Lamamra a conclu en affirmant que tel “est le choix que l’Algérie a privilégié en mettant en oeuvre, à l’initiative du Président Abdelaziz Bouteflika, une politique de concorde et de réconciliation nationale qui a permis au peuple algérien de transcender une décennie particulièrement difficile de son histoire et de reprendre la voie du développement et du progrès moyennant une stabilité et une cohésion nationale renforcées dans le contexte de la mise en œuvre de programme du Président de la République, Abdelaziz Bouteflika”.