Le ministre des Affaires maghrébines, de l’Union africaine (UA) et de la Ligue des Etats arabes, Abdelkader Messahel a mis en avant, dimanche à Alger, l’attachement des pays voisins de la Libye au rétablissement de la stabilité et de l’unité de ce pays frère à travers le dialogue inclusif libo-libyen, affirmant que “l’Algérie est au service de la paix et ne recherche pas la gloire, cela ne relève pas de notre culture ni de notre politique”.
M. Messahel qui intervenait à l’issue de l’audience qu’il a accordée au chef de la mission onusienne de soutien en Libye, Martin Kobler, à la veille de la 11ème réunion ministérielle des pays voisins de la Libye, a déclaré qu’il est attendu de cette réunion de renouveler la confiance en l’ONU et en le rôle de M. Kobler et d’affirmer qu'”il n’y a pas d’alternative à l’accord politique pour le règlement de la crise libyenne”. “L’accord nécessiterait certaines modifications mais il reste la base du règlement”, a-t-il ajouté.
M. Messahel a précisé à propos de la rencontre de lundi qu’elle s’inscrivait dans le cadre “de l’accompagnement des frères libyens dans le règlement de leurs problèmes”, excluant que cela soit une ingérence dans leurs affaires. “Nous avons en Algérie des principes sacrés en vertu desquels nous n’acceptons pas ingérence dans les affaires de quiconque ni dans nos affaires. Mais quand il s’agit d’un pays voisin nous sommes au service de la paix et ne recherchons pas la gloire”, a-t-il soutenu.
Par ailleurs, M. Messahel a qualifié sa dernière tournée dans nombre de villes en Libye de “très bénéfique”, ajoutant “il était de notre devoir en tant que pays voisin de rendre visite à nos frères comme ils l’ont fait tous au cours des derniers mois, à l’instar de Akila Salah, président du parlement libyen, Abderrahmane Souihli, président du Haut conseil d’Etat, le Maréchal Khalifa Haftar, commandant de l’Armée libyenne et même des représentants des tribus du Sud et des parlementaires”.
M. Messahel a déclaré, à ce propos, avoir constaté dans toutes les villes libyennes un “grand espoir” quant à une solution politique et une sortie de la crise en Libye qui possède, selon lui, d’”importantes potentialités et énergies” qui lui permettent d’être un “Etat prospère”.
Il s’est dit également optimiste quant à la “réunification de tous les Libyens (…) avec l’aide de la communauté internationale représentée par les Nations unies, la Ligue arabe, l’Union européenne (UE), l’Union africaine (UA) et les pays voisins”.
Dimanche, M. Messahel a reçu les chefs des délégations des pays voisins de la Libye et l’émissaire onusien, Martin Kobler, devant participer demain lundi à la réunion des pays voisins pour examiner l’évolution de la situation libyenne et ses retombées sécuritaires sur les pays de la région outre la solution politique.
Ces réunions se tiennent au lendemain de la visite qu’il a effectuée dans plusieurs régions dans le sud de la Libye dans le cadre des efforts de l’Algérie visant à trouver une solution politique à la crise que connait la Libye depuis 2011 et, seulement quelques jours après sa première tournée qui l’a mené du 19 au 21 avril dernier, dans les villes de l’est du pays dont Al Baida, Benghazi, Zenten, Mesrata et Tripoli.
Une tournée durant laquelle, il a perçu une volonté ferme chez les Libyens de résoudre les problèmes qui se posent à leur pays et leur attachement à la paix et la stabilité.
M. Kobler, chef de la mission des Nations unies pour la Libye aura été le premier à avoir rencontré M. Messahel.
M. Messahel qui intervenait à l’issue de l’audience qu’il a accordée au chef de la mission onusienne de soutien en Libye, Martin Kobler, à la veille de la 11ème réunion ministérielle des pays voisins de la Libye, a déclaré qu’il est attendu de cette réunion de renouveler la confiance en l’ONU et en le rôle de M. Kobler et d’affirmer qu'”il n’y a pas d’alternative à l’accord politique pour le règlement de la crise libyenne”. “L’accord nécessiterait certaines modifications mais il reste la base du règlement”, a-t-il ajouté.
M. Messahel a précisé à propos de la rencontre de lundi qu’elle s’inscrivait dans le cadre “de l’accompagnement des frères libyens dans le règlement de leurs problèmes”, excluant que cela soit une ingérence dans leurs affaires. “Nous avons en Algérie des principes sacrés en vertu desquels nous n’acceptons pas ingérence dans les affaires de quiconque ni dans nos affaires. Mais quand il s’agit d’un pays voisin nous sommes au service de la paix et ne recherchons pas la gloire”, a-t-il soutenu.
Par ailleurs, M. Messahel a qualifié sa dernière tournée dans nombre de villes en Libye de “très bénéfique”, ajoutant “il était de notre devoir en tant que pays voisin de rendre visite à nos frères comme ils l’ont fait tous au cours des derniers mois, à l’instar de Akila Salah, président du parlement libyen, Abderrahmane Souihli, président du Haut conseil d’Etat, le Maréchal Khalifa Haftar, commandant de l’Armée libyenne et même des représentants des tribus du Sud et des parlementaires”.
M. Messahel a déclaré, à ce propos, avoir constaté dans toutes les villes libyennes un “grand espoir” quant à une solution politique et une sortie de la crise en Libye qui possède, selon lui, d’”importantes potentialités et énergies” qui lui permettent d’être un “Etat prospère”.
Il s’est dit également optimiste quant à la “réunification de tous les Libyens (…) avec l’aide de la communauté internationale représentée par les Nations unies, la Ligue arabe, l’Union européenne (UE), l’Union africaine (UA) et les pays voisins”.
Dimanche, M. Messahel a reçu les chefs des délégations des pays voisins de la Libye et l’émissaire onusien, Martin Kobler, devant participer demain lundi à la réunion des pays voisins pour examiner l’évolution de la situation libyenne et ses retombées sécuritaires sur les pays de la région outre la solution politique.
Ces réunions se tiennent au lendemain de la visite qu’il a effectuée dans plusieurs régions dans le sud de la Libye dans le cadre des efforts de l’Algérie visant à trouver une solution politique à la crise que connait la Libye depuis 2011 et, seulement quelques jours après sa première tournée qui l’a mené du 19 au 21 avril dernier, dans les villes de l’est du pays dont Al Baida, Benghazi, Zenten, Mesrata et Tripoli.
Une tournée durant laquelle, il a perçu une volonté ferme chez les Libyens de résoudre les problèmes qui se posent à leur pays et leur attachement à la paix et la stabilité.
M. Kobler, chef de la mission des Nations unies pour la Libye aura été le premier à avoir rencontré M. Messahel.