Le numéro 1 de DZ-Entreprise, le nouveau mensuel
économique dédié à la vie des PME algériennes,
se veut une vitrine de ”l’entreprise algérienne
dans son organisation, son fonctionnement
et son développement”
Le numéro 1 de DZ-Entreprise, le nouveau mensuel économique dédié à la vie des PME algériennes, se veut une vitrine de ”l’entreprise algérienne dans son organisation, son fonctionnement et son développement”. Dans une Lettre de l’éditeur reçue samedi par l’APS, la directrice de la publication précise que cette revue, qui enrichit davantage le paysage médiatique national consacré aux PME, s’intéresse également ”à l’environnement économique, politique et social dans lequel elle évolue”. ”L’idée est de mettre en scène à travers des portraits, des femmes et des hommes qui ont réussi à monter des entreprises, qui contribuent à créer de l’emploi, à dégager de la plus-value et participent à la création de la richesse”, ajoute la responsable de la publication. DZ-Entreprise traite sur une pagination de 68 pages presque exclusivement de la vie des PME algériennes, réservant son numéro 1 aux 50 propositions du Forum des chefs d’entreprise (FCE) pour la relance de l’entreprise algérienne, et la sortir du ghetto. ”(…) l’émergence sur le marché national d’un tel support est d’autant plus souhaitable qu’il nous paraît répondre à un vrai besoin de l’opinion publique de mieux connaître la réalité du monde de l’entreprise, ses contraintes et ses difficultés (…)”, souligne le magazine dans son éditorial. Plusieurs thèmes liés à l’entreprise et son environnement, ainsi que l’utilisation des NTIC dans l’optimisation des performances des PME algériennes, sont traités dans ce premier numéro de DZ-Entreprise, qui réserve une bonne place à l’agenda économique national, notamment les grands rendez-vous des entreprises et les différents Salons et foires.
La cérémonie de remise des toiles de cette plasticienne à la fois orientaliste et surréaliste d’origine américaine s’est déroulée au siège de la Sonatrach en présence du ministre de l’Energie et des Mines, M. Youcef Yousfi, et la ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi.
Un acte de donation des oeuvres, acquises par la société nationale des hydrocarbures en 2004 pour une somme approximative de 200.000 dollars, a été signé par le président directeur général de la Sonatrach, M. Abdelhamid Zerguine et la directrice du Musée national des beaux arts d’Alger, Mme Dalila Orfali.
A cette occasion, les deux ministres se sont félicités de cet “heureux évènement” qui réunit leurs départements ministériels respectifs en rappelant que l’objectif principal consistait en la sauvegarde du patrimoine national et sa mise à la portée des artistes, des étudiants des arts ainsi que du large public.
Juanita Guccione (1904-1999) est arrivée en Algérie dans les années 1930 pour séjourner à Boussaâda. Elle s’est mariée avec un algérien du nom de Chahaba Benaïssa Ben Mabrouk, avec qui elle a eu un garçon, Djelloul. Ce dernier, en sa qualité de légataire unique des oeuvres algériennes de sa mère a accepté de vendre à la Sonatrach les 174 toiles réalisées dans la région.
Les peintures de l’artiste américaine, réalisées selon différentes techniques (aquarelle, fusain, huile sur toile et huile sur bois) sont exposées actuellement à la galerie d’art de Sonatrach. Elles illustrent des paysages naturels de Boussaâda, des portraits d’hommes, de femmes et d’enfants bédouins, des montagnes, des villages, des jardins, terrasses et autres palmeraies.