Plusieurs accords ont été conclus à Alger et des certificats ont été remis aux investisseurs qui ont inscrit leur projets auprès de l’Office de développement des agricultures industrielles en terres sahariennes, via sa plateforme numérique.
Les accords ont été signés en marge des travaux de la rencontre organisée sous le thème “Pour un investissement attractif et durable”, laquelle a connu la présence d’opérateurs économiques dans le secteur de l’agriculture et des membres du Gouvernement.
Dans ce cadre, 7 accords ont été conclus, dont 3 entre les porteurs de projets dans le secteur de l’agriculture, ayant bénéficié de financement de leur projet par l’Agence nationale d’appui et de développement de l’entreprenariat (ANADE) et 4 accords entre des entreprises du secteur public et privé et le groupement de logistique ” AGROLOG”.
Il a été procédé à la signature d’accords entre les partenaires des deux secteurs public et privé, en vue d’investir dans les domaines de la production et de la transformation des filières agricoles stratégiques, telles que les céréales, le sucre, les cultures oléagineuses, le fourrage et autres.
De plus, 8 certificats de qualification ont été remis aux investisseurs qui ont inscrit des projets d’investissement dans les agricultures industrielles auprès de l’Office de développement des agricultures industrielles en terres saharienne, via sa plateforme numérique.
Cette rencontre qui a connu la présence d’investisseurs, d’organisations du patronat et des walis de certaines wilayas du Sud, s’inscrit dans le cadre de la concrétisation des programmes de la feuille de route du secteur de l’Agriculture et du Développement rural de la période 2020/2024.
La rencontre se veut une occasion pour évaluer les mécanismes et les dispositifs de soutien et d’accompagnement mis en place par le secteur, en vue de consolider l’investissement structurant, notamment en matière de développement des agricultures industrielles, en vue d’augmenter la production et la productivité, à l’effet de consolider la sécurité alimentaire et réduire la facture des importations.
Source APS